Raison d’être : en avoir ou pas ?

Une étude Comfluence propose un état des lieux et une analyse des raisons d’être adoptées par les entreprises du CAC 40, deux ans après le médiatique rapport Notat-Sénard. 

Placée au cœur du débat de la loi « PACTE » par le rapport NOTAT-SÉNARD du 9 mars 2018, la raison d’être des entreprises a fait couler beaucoup d’encre. L’enjeu : lutter contre le court-termisme actionnarial et inscrire l’activité des entreprises dans un développement durable, notamment en regard des grands défis socio-environnementaux auxquels le monde fait face.

« Tout le débat qui a été généré autour de la loi Pacte est emblématique d’un moment historique où l’entreprise s’avère de plus en plus partie prenante de sujets d’intérêt général sur lesquels les pouvoirs publics et la société lui demandent désormais de rendre des comptes, souligne Vincent Lamkin, directeur associé de Comfluence. C’est là un nouvel espace de pouvoir et de responsabilité où se jouent de nouvelles manières de conjuguer les actions publiques et privées au service de la société. Dans ce contexte, l’aptitude de l’entreprise à œuvrer en bonne intelligence avec la société s’avère capital. »

Coup de com ou vecteur de nouveaux engagements, la raison d’être ? Le sujet méritait un état des lieux et une analyse. C’est l’objet de l’étude que Comfluence a menée sur l’ensemble des entreprises du CAC 40.

Découvrez l’étude ici.