Comfluence accompagne la filière viti-vinicole pour défendre la juste place du vin dans la société et la culture française

Le vin est à la croisée des paradoxes. Son considérable capital image fait écran à une réalité inquiétante : une déconsommation constante qui menace l’emploi dans la filière et son devenir. Après avoir gagné la bataille de la modération, celle-ci doit désormais gagner celle de la transmission !

Quelques décennies plus tard, ce rôle de « boisson-totem » semble plus que jamais menacé. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 60 ans, la consommation de vin des Français a chuté de 70%, passant de plus de 120L par an et par habitant en 1960 à moins de 40L par an en 2020. La chute s’observe pour toutes les classes d’âge, avec une ampleur particulière chez les 18-35 ans.

La filière viti-vinicole, représentée par Vin & Société et le Comité National des Interprofessions des Vins à appellation d’origine et à indication géographique (CNIV), a souhaité tirer la sonnette d’alarme sur cette situation, de crainte de voir le vin disparaître progressivement des tables françaises ! La « déconsommation » de vin menace en effet la transmission d’une culture bimillénaire et porte en germe le risque d’une véritable « bombe » sociale pour la viticulture française.

Cet appel au sursaut, porté par Samuel Montgermont, président de Vin & Société, et Bernard Farges, président du CNIV, a été relayé via une campagne d’influence préparée et orchestrée par l’agence : 
– Mi-décembre, un déjeuner presse organisé en présence d’une dizaine de journalistes a permis de commencer à sensibiliser la presse économique, viticulture et vins sur les enjeux, sur les tenants et aboutissants de la déconsommation ; 
– Dans l’ensemble, plus d’une trentaine de retombées sont à dénombrer dans la presse print, web, radio et TV avec notamment deux grands articles de fond parus dans Les Échos et Le Figaro, des interviews accordées à France InterFrance CultureEurope 1Sud Radio, etc. La presse étrangère s’est également fait l’écho du cri d’alarme poussé par Vin & Société et le CNIV, avec des retombées dans The Telegraph et The Times
– Au même moment, une tribune co-signée paraissait sur le Journal du Dimanche, afin de mettre en perspective les enjeux de déconsommation avec l’injonction à l’abstinence portée par les partisans du Dry January. 

Après que nous ayons collectivement gagné la bataille de la modération, il nous reste désormais à remporter celle de la transmission. Comfluence oeuvrera aux côtés des acteurs de la filière pour mener ce combat.