Comfluence ouvre la Speech factory
Avec ce nouveau dispositif, l’agence souhaite accompagner autrement les dirigeants dans la préparation et la valorisation de leurs prises de parole.
« Sur une année, un dirigeant prend a minima 5 ou 6 fois la parole en public : inauguration, vœux, participation à un colloque, présentation d’un projet stratégique, etc. On peut appréhender ces séquences comme des figures imposées ou bien y voir des occasions de bâtir un leadership, de marquer des points au service de ses combats. C’est notre parti pris, expliquent Vincent Lamkin et Jérôme Ripoull, fondateurs de l’agence Comfluence. Interne ou externe, toute prise de parole constitue une opportunité de convaincre, de créer une dynamique, d’incarner un projet, d’influencer. Cela est vrai pour le « patron » d’un grand groupe comme d’une ETI, d’une fédération professionnelle ou d’une institution. A contrario, cette exposition du dirigeant induit aussi une évidente prise de risques. D’un auditoire manqué au bad buzz sur les réseaux sociaux, les écueils sont réels. »
La Speech factory est née d’un constat et d’une conviction : les différentes composantes d’une prise de parole sont le plus souvent appréhendées de façon segmentée et cloisonnée. « Analyse du contexte et du public, rédaction des messages, scénographie, coaching et training, supports de présentation, viralité et interactions… Tous ces ingrédients d’une prise de parole sont gérés séparément et le plus souvent partiellement, parce qu’ils mobilisent des experts différents, parce qu’ils mixent des chronologies différentes et parce qu’ils sont plus ou moins pris en compte en réalité, analysent Vincent Lamkin et Jérôme Ripoull. Or, ce sont tous ces ingrédients qui vont construire l’impact d’une prestation. Notre approche vise donc à les considérer comme un tout, à les travailler en système, en étroite collaboration avec les directions de la communication, au service d’un résultat tangible. » C’est pourquoi la Speech factory intègre un écosystème d’experts reconnus (journalistes, coachs, sociologues) ainsi que des technologies innovantes.